Le Professeur Iba Der THIAM n’a jamais été un moniteur. Il est entré dans l’enseignement en1955 avec le BEPC (équivalent du BE de Ponty) et le grade d’Instituteur-adjoint stagiaire.
Après les 7 ans exigés, il a passé le CAP (Ecrit, oral et pratique), qu’il a réussi.
Il entre, ensuite, à l’Ecole Normale Supérieure sur concours.
Il est classé premier de sa promotion à la fin de la première année et premier, également, à la fin de la deuxième année.
Il commence ses études universitaires par le Duel I. Il réussit, là, aussi, en tant que major.
Il passe en Duel II, où il est, également, major.
Quand il commence ses études de Licence, on l’arrête injustement pour activités syndicales, après l’incendie du Centre culturel français.
On le fait arrêter par le Tribunal spécial qui le condamne à 3 ans d’emprisonnement.
Il s’attèle à la préparation de la Licence d’Histoire, alors qu’il était en prison et ne pouvait pendant 5 mois participer à aucun cours à l’Université.
Cela ne l’empêche pas de se présenter à l’examen de fin d’année de Licence depuis la prison de Rebeuss.
Il est, là, aussi admis avec le rang de major de la promotion.
Pendant toute sa carrière universitaire, il a toujours réussi en Juin et n’a connu ni redoublement, ni deuxième session.
Gracié par Senghor, avec ses camarades codétenus (Mbaba GUISSE, Babacar SANE, Bakhao SECK, Niang Demba SALL), il engagea la préparation de la Maîtrise qu’il réussit avec la mention Très bien.
Il a, ainsi, obtenu tous ses diplômes universitaires à Dakar avec la mention Bien ou Très bien, avec le rang de major.
Il se lance, ensuite, dans la préparation de l’Agrégation et se rend en France.
Sur place, il dépose un dossier dans les deux plus prestigieuses écoles que sont l’Ecole Normale Supérieure de la rue d’Ulm et l’Ecole Normale Supérieure de Saint-Cloud.
Toutes les deux acceptent son dossier à un jour d’intervalle.
C’est là qu’il prépare l’agrégation et la réussit en 1975.
Il se lance immédiatement dans la préparation d’une Thèse d’Etat et s’inscrit en Sorbonne, la plus prestigieuse des universités françaises.
Après 7 ans de travaux de recherches, il soutient sa Thèse d’Etat avec la mention Très Honorable et les félicitations du jury.
A cette date, l’UNESCO lui propose un poste très prisé et très bien payé. Il décline l’offre, préférant mettre ses compétences au service de son pays.
Depuis, il enseigne au Département d’Histoire de la Faculté des Lettres et Sciences Humaines de l’Université Cheikh Anta DIOP de Dakar.
Admis à la retraite depuis 2006, il continue, depuis 13 ans, d’enseigner gratuitement en Licence et Maîtrise, sans percevoir aucun salaire.
En lançant l’Histoire Générale du Sénégal des origines à nos jours, il a refusé d’être payé pour ce travail qu’il effectue, là, aussi bénévolement.
L’UNESCO l’a désigné comme membre du Comité chargé de rédiger l’Histoire du développement scientifique et culturel de l’humanité.
Il y codirige le Tome 7 (qui traite de la période allant de 1789 à 1914), avec le Pr Peter Mathias de Grande-Bretagne.
Il a été avec un petit comité chargé d’écrire, aussi, l’histoire générale de la BCEAO avec le Pr Saliou MBAYE, Daniel CABOU, Patrice KWAME (Côte d’Ivoire), Guy POGNON (Bénin), etc.
Il a été, en plus, l’éditeur international du Volume 6 publié par l’UNESCO, intitulé « Les différents aspects de la culture islamique », avec les Professeurs Abdoul Rahim Ali, Yussof A. Talib du Pakistan, paru en 2016.
Il entre, ensuite, à l’Ecole Normale Supérieure sur concours.
Il est classé premier de sa promotion à la fin de la première année et premier, également, à la fin de la deuxième année.
Il commence ses études universitaires par le Duel I. Il réussit, là, aussi, en tant que major.
Il passe en Duel II, où il est, également, major.
Quand il commence ses études de Licence, on l’arrête injustement pour activités syndicales, après l’incendie du Centre culturel français.
On le fait arrêter par le Tribunal spécial qui le condamne à 3 ans d’emprisonnement.
Il s’attèle à la préparation de la Licence d’Histoire, alors qu’il était en prison et ne pouvait pendant 5 mois participer à aucun cours à l’Université.
Cela ne l’empêche pas de se présenter à l’examen de fin d’année de Licence depuis la prison de Rebeuss.
Il est, là, aussi admis avec le rang de major de la promotion.
Pendant toute sa carrière universitaire, il a toujours réussi en Juin et n’a connu ni redoublement, ni deuxième session.
Gracié par Senghor, avec ses camarades codétenus (Mbaba GUISSE, Babacar SANE, Bakhao SECK, Niang Demba SALL), il engagea la préparation de la Maîtrise qu’il réussit avec la mention Très bien.
Il a, ainsi, obtenu tous ses diplômes universitaires à Dakar avec la mention Bien ou Très bien, avec le rang de major.
Il se lance, ensuite, dans la préparation de l’Agrégation et se rend en France.
Sur place, il dépose un dossier dans les deux plus prestigieuses écoles que sont l’Ecole Normale Supérieure de la rue d’Ulm et l’Ecole Normale Supérieure de Saint-Cloud.
Toutes les deux acceptent son dossier à un jour d’intervalle.
C’est là qu’il prépare l’agrégation et la réussit en 1975.
Il se lance immédiatement dans la préparation d’une Thèse d’Etat et s’inscrit en Sorbonne, la plus prestigieuse des universités françaises.
Après 7 ans de travaux de recherches, il soutient sa Thèse d’Etat avec la mention Très Honorable et les félicitations du jury.
A cette date, l’UNESCO lui propose un poste très prisé et très bien payé. Il décline l’offre, préférant mettre ses compétences au service de son pays.
Depuis, il enseigne au Département d’Histoire de la Faculté des Lettres et Sciences Humaines de l’Université Cheikh Anta DIOP de Dakar.
Admis à la retraite depuis 2006, il continue, depuis 13 ans, d’enseigner gratuitement en Licence et Maîtrise, sans percevoir aucun salaire.
En lançant l’Histoire Générale du Sénégal des origines à nos jours, il a refusé d’être payé pour ce travail qu’il effectue, là, aussi bénévolement.
L’UNESCO l’a désigné comme membre du Comité chargé de rédiger l’Histoire du développement scientifique et culturel de l’humanité.
Il y codirige le Tome 7 (qui traite de la période allant de 1789 à 1914), avec le Pr Peter Mathias de Grande-Bretagne.
Il a été avec un petit comité chargé d’écrire, aussi, l’histoire générale de la BCEAO avec le Pr Saliou MBAYE, Daniel CABOU, Patrice KWAME (Côte d’Ivoire), Guy POGNON (Bénin), etc.
Il a été, en plus, l’éditeur international du Volume 6 publié par l’UNESCO, intitulé « Les différents aspects de la culture islamique », avec les Professeurs Abdoul Rahim Ali, Yussof A. Talib du Pakistan, paru en 2016.